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NOËL ET LE SUAIRE DE TURIN.

Détails concernant la naissance du Sauveur.

... Ou c'est très loin de la pensée du plus grand nombre !

Nous allons étudier ce que disent les Écritures au sujet de la naissance de notre Sauveur. Bien que le jour exact en fut toujours caché par Dieu Lui-Même, Il ne nous a pas laissés ignorants quant à sa période (le mois). Il suffit de L'écouter quand Il nous guide dans Sa Parole.
Ceci m'a été dicté par Dieu afin de réfuter les traditions humaines, qui, par suite d'ignorance et d'incrédulité, ont toujours essayé d'accomoder cette naissance à leurs fêtes païennes...
Vous allez vous apercevoir, tout comme moi, que le moindre mot de la Bible a toute son importance et que ce n'est pas parce qu'il n'est cité qu'une fois que la chose qu'il veut dire n'est pas sans importance, bien au contraire...

Nous allons commencer cette étude par un verset en apparence anodin :
Luc 1, 26-27 : «Or au sixième mois, l’Ange Gabriel fut envoyé de Dieu dans une ville de Galilée, appelée Nazareth; Vers une Vierge fiancée à un homme nommé Joseph, qui était de la maison de David; et le nom de la Vierge était Marie.»

Tout de suite, un détail nous vient à l'esprit : quel est donc ce sixième mois ? Beaucoup rétorquent qu'il s'agit du sixième mois de la grossesse d'Élisabeth, la future mère de Jean-Baptiste. Mais il n'en est absolument pas question ici... Il ne faudrait pas tout de même faire dire à la Bible ce qu'elle ne dit pas, bien qu'il y en ait pour qui ça ne pose aucun problème, à leurs risques et périls !...

D'ailleurs, il n'en est question qu'ici :
Luc 1, 36-37 : «Et voici, Elizabeth, ta cousine, a aussi conçu un fils en sa vieillesse; et c’est ici le sixième mois de la grossesse de celle qui était appelée stérile. Car rien ne sera impossible à Dieu.»

Donc, ce n'est pas tout-à-fait la même chose que dix versets avant ! Or, quel est donc ce sixième mois, puisqu'il ne signifie pas le sixième mois de la grossesse d'Élisabeth ?
Ben c'est tout simplement le mois de l'année en cours ! Et vous me direz : c'est le mois de juin, alors ? Eh bien non : nous allons voir dans la Bible que l'année juive ne commence pas le 1er janvier ! Mais étudions la Parole :
Exode 13, 3-4 : «Moïse donc dit au peuple: souvenez-vous de ce jour, auquel vous êtes sortis d’Egypte, de la maison de servitude; car l’Éternel vous en a retirés par main forte; on ne mangera donc point de pain levé. Vous sortez aujourd’hui au mois que les épis mûrissent

De plus :
Exode 12, 1-2 : «Or l’Éternel avait parlé à Moïse et à Aaron au pays d’Egypte, en disant: Ce mois-ci vous sera le commencement des mois, il vous sera le premier des mois de l’année

Et le contexte situe ces derniers versets juste avant que l'Éternel ne frappe les premiers-nés d'Égypte. Donc, entre la neuvième et la dixième plaie. Donc, pour tous les Juifs, ce premier mois revêt une importance toute particulière. Et des recherches nous font savoir que ça se situe aux environs du mois de Mars ! Pourquoi ? Parce que tout simplement les céréales poussent dans la saison fraîche, en Égypte. Et ce mois est le mois que les céréales mûrissent. Plus tard, il fait trop chaud !
Ceci dit, nous pouvons alors certifier que ce sixième mois est donc notre mois d'août !

Un dernier point : la naissance de notre Sauveur n'a pas été plus miraculeuse que celle de n'importe quel bébé de la Terre. Seule Sa conception l'a été. La preuve ? La voici :
Luc 2, 4-6 : «Et Joseph monta de Galilée en Judée, savoir de la ville de Nazareth, en la cité de David, appelée Bethléhem, à cause qu’il était de la maison et de la famille de David; Pour être enregistré avec Marie, la femme qui lui avait été fiancée, laquelle était enceinte. Et il arriva comme ils étaient là, que son terme pour accoucher fut accompli

Quel est donc ce terme ? Celui où, neuf (9) mois après la conception, le petit enfant est prêt à naître ! Donc, Jésus, comme n'importe quel bébé terrestre, a passé neuf mois dans le ventre de sa mère avant Sa naissance, pas un de plus, ni de moins !
De plus, Marie est tombée enceinte pas plus tard que quelques jours après la visite de Gabriel. Car, quand elle est montée chez sa cousine Élisabeth, mère de Jean-Baptiste, elle était déjà enceinte :
Luc 1, 39-43 : «Or en ces jours-là Marie se leva, et s’en alla en hâte au pays des montagnes dans une ville de Juda. Et elle entra dans la maison de Zacharie, et salua Elisabeth. Et il arriva qu’aussitôt qu’Elisabeth eut entendu ta salutation de Marie, le petit enfant tressaillit en son ventre, et Elisabeth fut remplie du Saint-Esprit. Et elle s’écria à haute voix, et dit: tu es bénie entre les femmes, et béni est le fruit de ton ventre. Et d’où me vient ceci, que la mère de mon Seigneur vienne vers moi?»

Les femmes ont un don très spécial qui leur permet de voir qu'une autre femme est enceinte dès le premier jour ! De plus, Élisabeth était remplie du Saint-Esprit, ce qui a facilité les choses.
Et maintenant que nous avons déterminé par l'Écriture ce sixième mois où l'ange Gabriel a rendu visite à Marie, comptons donc, comme des enfants de Dieu bien sages, neuf mois depuis le sixième mois, le mois d'août :

* Septembre, 1.
* Octobre, 2.
* Novembre, 3.
* Décembre, 4.
* Janvier, 5.
* Février, 6.
* Mars, 7.
* Avril, 8.
* Mai, 9 !!!

Tout de suite, nous pouvons en déduire plusieurs choses :
Comme l'ange Gabriel a bien précisé à Marie, ce même sixième mois, que «c'est ici le sixième mois de la grossesse de celle qui était appelée stérile» (en parlant d'Élisabeth), nous pouvons en déduire le mois de naissance de Jean-Baptiste : le mois de novembre. Soit trois mois après, exactement après le temps que Marie est restée chez elle !
En ce qui concerne la prétendue naissance de Jésus-Christ en automne ou même au mois de décembre, il faudrait oublier la période de NEUF mois de la grossesse de la femme, qui a été décrétée par Dieu ! Car il est bien écrit : « il arriva, comme ils étaient là, que son terme pour accoucher fut accompli» ! Alors, Jésus sortant du ventre de Marie à entre un et quatre mois !?... Faut pas "déconner" !... Tordre les Écritures, déjà, c'est mal. Mais tordre la nature pour approuver une fausse doctrine, c'est dangereux !...

De plus :
Luc 2, 7-8 : «Et elle mit au monde son fils premier-né, et l’emmaillota, et le coucha dans une crèche, à cause qu’il n’y avait point de place pour eux dans l’hôtellerie. Or il y avait en ces quartiers-là des bergers couchant aux champs, et gardant leur troupeau durant les veilles de la nuit.»

Question : pourquoi les bergers gardaient-ils les troupeaux à ce moment-là ? Il faudrait interroger un berger qui vous répondra que, en ce temps-là, au mois de mai en Israël, les brebis mettent bas ! Et ça peut arriver n'importe quand, à n'importe quel moment du jour ou de la nuit ! C'est pour ça que les bergers étaient aux champs, couchant "à la belle étoile" !!! De plus il n'y a aucune raison particulière qui oblige un berger à garder ses brebis dehors en automne ou en hiver où, même en Israël, il neige parfois et où la nourriture est rare et les pâturages boueux !...

Donc, nous pouvons conclure, avec l'absolue certitude que donne l'Écriture, que Jésus-Christ est né dans le courant du mois de mai de l'année suivant la rencontre de Marie, sa mère, avec l'ange Gabriel !

Détails concernant la mort et la résurrection du Sauveur.

... Ou comment l'Écriture démonte le mythe du "linceul de Turin"...

Nous allons nous attaquer ici à une fausse croyance qui veut que Jésus-Christ ait été mis dans le tombeau enveloppé dans un linceul et que ce dernier, "miraculeusement" retrouvé, aurait conservé son empreinte... Une fois de plus, nous allons appeler l'Écriture à la rescousse !
Alors, nous allons examiner les quatre Évangiles qui relatent cette période où notre Sauveur S'est offert en victime expiatoire pour tous nos péchés...

Voyons donc ça de près :
MATTHIEU 27, 57-60 : «Et le soir étant venu, un homme riche d’Arimathée, nommé Joseph, qui même avait été Disciple de Jésus, Vint à Pilate, et demanda le corps de Jésus; et en même temps Pilate commanda que le corps fût rendu. Ainsi Joseph prit le corps, et l’enveloppa d’un linceul net; Et le mit dans son sépulcre neuf, qu’il avait taillé dans le roc; et après avoir roulé une grande pierre à l’entrée du sépulcre, il s’en alla.»
MARC 15, 46 : «Et Joseph ayant acheté un linceul, le descendit de la croix, et l’enveloppa du linceul, et le mit dans un sépulcre qui était taillé dans le roc, puis il roula une pierre sur l’entrée du sépulcre.»
LUC 23, 53 : «Et l’ayant descendu de la croix, il l’enveloppa dans un linceul, et le mit en un sépulcre taillé dans le roc, où personne n’avait encore été mis.»

(...) Un peu maigre, comme détails ! Mais allons voir le quatrième Évangile, celui de Jean :
JEAN 19, 38-42 : «Or après ces choses, Joseph d’Arimathée, qui était Disciple de Jésus, secret toutefois parce qu’il craignait les Juifs, pria Pilate qu’il lui permît d’ôter le corps de Jésus; et Pilate le lui ayant permis, il vint, et prit le corps de Jésus. Nicodème aussi, celui qui auparavant était allé de nuit à Jésus, y vint apportant une mixtion de myrrhe et d’aloès d’environ cent livres. Et ils prirent le corps de Jésus, et l’enveloppèrent de linges avec des Aromates, comme les Juifs ont coutume d’ensevelir. Or il y avait au lieu où il fut crucifié un jardin, et dans le jardin un sépulcre neuf, où personne n’avait encore été mis. Et ils mirent là Jésus, à cause de la préparation des Juifs, parce que le sépulcre était près.»

Tout de suite, après première lecture, nous pourrions croire que le récit de Jean contredit les trois autres. Nous allons voir qu'il n'en est rien et que l'Écriture complète merveilleusement les choses pour que nous puissions comprendre.
Une vérité doit être dite à ce moment-là : ce qu'ont raconté Matthieu, Marc et Luc est exact. Joseph d'Arimathée a bien acheté un linceul neuf et a bien enveloppé le corps de Jésus dedans, quand il l'a descendu de la croix !
Mais ce que Jean rapporte aussi est exact : Joseph d'Arimathée et Nicodème, eux deux, ont enveloppé le corps de Jésus de linges (de bandes, suivant d'autres versions de la Bible !) et, détail supplémentaire, «COMME LES JUIFS ONT COUTUME D'ENSEVELIR» !!! Donc, pour couper court à toute polémique, il suffit de se renseigner comment les Juifs ensevelissaient leurs morts à l'époque de Jésus, pratique dont le détail a été fidèlement rapporté par Jean ici !...

Nous allons même pouvoir démontrer que le linceul entier n'est même jamais entré dans le sépulcre ! Pour ça, nous allons lire le moment où Jésus a été ressuscité. Et ce récit est toujours rapporté par Jean, les trois autres copistes n'en ayant fait aucun cas :
JEAN 20, 1-7 : «Or le premier jour de la semaine Marie Magdelaine vint le matin au sépulcre, comme il faisait encore obscur; et elle vit que la pierre était ôtée du sépulcre. Et elle courut, et vint à Simon Pierre, et à l’autre Disciple que Jésus aimait, et elle leur dit: on a enlevé le Seigneur hors du sépulcre, mais nous ne savons pas où on l’a mis. Alors Pierre partit avec l’autre Disciple, et ils s’en allèrent au sépulcre. Et ils couraient tous deux ensemble; mais l’autre Disciple courait plus vite que Pierre, et il arriva le premier au sépulcre. Et s’étant baissé, il vit les linges à terre; mais il n’y entra point. Alors Simon Pierre qui le suivait, arriva, et entra dans le sépulcre, et vit les linges à terre. Et le suaire qui avait été sur la tête de Jésus, lequel n’était point mis avec les linges, mais était enveloppé en un lieu à part.»

... Curieux ! D'un côté, le linceul. De l'autre, les linges (plusieurs), et un suaire... Mais alors, où est donc passé le linceul ?

Comme en Israël, le linceul désigne une pièce de tissu, avec laquelle on peut faire autre chose que d'ensevelir un mort (fabriquer des vêtements, par exemple !), Joseph d'Arimathée avait donc bien acheté un de ces linceuls et avait bien enveloppé le corps de Jésus dedans, quand lui et Nicodème ont descendu le corps de Jésus de la croix. Mais ensuite, ils se seraient (ce n'est pas écrit !) tout simplement servi de ce linceul pour confectionner non seulement les linges, mais aussi le suaire qui, détail important, enveloppait la tête de Jésus, et non tout Son corps (Rappelons-nous la proximité du sabbat, où PERSONNE ne devait travailler, pas même à ensevelir un mort !) ! Alors, comment peut-on affirmer que ce suaire puisse porter l'empreine du corps entier, vu qu'il n'enveloppait que la tête ? On pourrait objecter que ce linceul aurait été volé pendant le séjour de Jésus dans le tombeau !... Mais alors, comment les voleurs éventuels auraient-ils pu déplacer la pierre, pesant plusieurs tonnes, de plus, scellée et gardée !?... Nous pouvons donc en conclure que l'homme est prêt à dire n'importe quoi pour étayer la fausse doctrine du linceul (qu'on appelle suaire !) de Turin, et à occulter ce que dit l'Écriture ! C'est pour ça qu'ils ne laissent pas leurs fidèles l'étudier de trop près !

Souvenez-vous de ce qu'ont dit les Juifs religieux au sujet de la Résurrection : ils ont carrément payé les soldats pour qu'ils accusent les disciples du vol du corps de Jésus pendant qu'ils dormaient alors qu'il y avait la pierre scellée et la garde ! De plus, le tombeau était creusé dans le ROC, très dur ! Si des voleurs ou les disciples eux-mêmes avaient percé le tombeau par-derrière avec des outils, les gardes ne l'auraient-ils pas entendu ?!?...

D'un autre côté, le linceul a bien enveloppé le corps de Jésus, mais... en morceaux ! Pas entier.
Voilà donc les conclusions auxquelles j'en suis arrivé après avoir examiné la Bible sous tous les angles au sujet de ces deux fausses doctrines. J'espère que ces deux sujets feront réfléchir les chrétiens pour qu'ils écoutent enfin la voix du Saint-Esprit au lieu de se faire berner par les hommes et leurs vaines traditions, qui n'ont aucune autorité en la matière !

LE FILS, UNE ÂME DANS LE CIEL..

Ce qu’on a du mal à comprendre, nous, sur cette Terre, c’est que Jésus-Christ FILS de Dieu est UNE ÂME ! Or, l’âme n’existait pas en tant que Dieu avant que Jésus-Christ ne vienne en chair par l’ovule de Marie.

*** Je vais développer car c’est là une idée totalement saugrenue aux yeux de beaucoup, comme le sont toutes les Pensées de Dieu, qui ne sont PAS nos pensées ! ***

Dans la Genèse, il est bien écrit :
Genèse 2, 7 : «Et l’Éternel Dieu forma l’homme de la poussière de la terre, et souffla dans ses narines une respiration de vie; et l’homme devint une âme vivante.»

, repris dans le Nouveau Testament ainsi :
1 Corinthiens 15, 45 : «Suivant qu’il est écrit: Le premier homme, Adam, a été fait une âme vivante; mais le dernier Adam est un Esprit vivifiant;»

Or, quand l’Esprit de Dieu a “couvert” Marie pour qu’elle mette au monde Jésus-Christ bébé, cet enfant n’avait-Il pas d’âme ? Tout comme Adam, Jésus-Christ est devenu une âme vivante le jour où Il est né, Dieu manifesté en chair !

En plus, Jésus-Christ le dit Lui-Même ici, qu'il est une Âme :
Matthieu 26, 38 : «Et il leur dit: Mon âme est triste jusqu’à la mort; demeurez ici et veillez avec moi.»
Marc 14, 34 : «Et il leur dit: Mon âme est saisie de tristesse jusqu’à la mort; demeurez ici et veillez.»

De plus, Il a dit que le Père est EN Lui, en Esprit :
Jean 14, 10-11 : «Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi ? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même, mais le Père qui demeure en moi, fait lui-même les œuvres que je fais. Croyez-moi quand je dis que je suis dans le Père, et que mon Père est en moi ; sinon, croyez-moi à cause de ces œuvres mêmes.»

Or, le Fils, c’est cette Âme Vivante !

Quand Jésus-Christ a dit sur la croix :
Matthieu 27, 46 : «Et vers la neuvième heure, Jésus s’écria d’une voix forte, en disant: Éli, Éli, lama sabachthani? c’est-à-dire: Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ?»

, à ce moment-là, sachant Sa Mort proche, l’Esprit de Dieu (qui était toujours en Lui !) a quitté Jésus-Christ, laissant son Âme seule ! Mais, dans le shéol, l’Âme de Jésus-Christ est allée reprendre les clés du séjour des morts à Satan ! Et 72 heures après, Dieu Le ressuscite, emportant Son Âme dans le Ciel, à Sa droite et Lui donnant Son Corps définitif, où il y a toujours la marque des clous et de la lance !

À ce moment-là, dans le Ciel, Dieu est “complet” : Esprit, Âme et Corps, tout comme nous, qui avons été créés à Son Image !

Alors, nous qui serons trouvés digne d’entrer dans le Royaume des Cieux, une fois Ressuscités vivants ou morts en Christ, nous serons aussi des Fils de Dieu car notre âme aura été purifiée et sera rendue semblable à l’âme de Jésus-Christ qui, Lui, n’a JAMAIS péché !

*** Ça nous paraît compliqué ? C’est parce que nous sommes devenus lents à comprendre ! Moi aussi je l’étais avant que Dieu ne Se révèle à moi, déjà pour Son Assemblée et ensuite, pour comprendre que le Fils, c’est l’Âme ! ***

«Consolez-vous les uns les autres, par ces paroles !»

Nos Bibles françaises sont falsifiées !

Ça peut sembler incroyable, mais l'ennemi a réussi à s'immiscer dans la Parole de Dieu écrite et en modifier certains passages… Comment ?

C'est très subtil, ça ne se remarque pas à première lecture et c'est d'autant plus dangereux ! Il nous faut demander au Père, l'Auteur de Sa Parole qu'Il a faite écrire, ce qu'Il a voulu réellement dire : il y va de la source de notre foi !

Mais pour bien comprendre, il nous faut procéder étape par étape car nous allons voir que ça commence par un passage mal traduit…

Nous avons l'habitude de lire :
«Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et la Parole était Dieu. Elle était au commencement avec Dieu.»
Or, quand je consulte les Strongs dans la version Segond, la plus lue dans le “monde chrétien”, le mot traduit par “avec” est “pros” (4314) en ancien grec, qui signifie entra autres sens, “à”. On dit d'ailleurs en langage courant quand on donne la parole à quelqu'un “La parole est à Untel” ! Et “pros” a une idée d'appartenance que “avec” n'a pas !

De plus, quand je lis la version d'Olivétan sur le site :
http://www.e-rara.ch/gep_g/content/titleinfo/1751440
, je vois avec stupeur qu'on a inversé la transposition donnée par l'apôtre Jean et qu'on aurait dû traduire par «Dieu était la Parole» la dernière expression du premier verset ! D'ailleurs, comme c'était la pleine Inquisition catholique et que des centaines voire des milliers de Chrétiens véritables étaient mis à mort pour leur Foi, Olivétan, en voyage pour Rome, est mort empoisonné pour avoir traduit ce passage de cette manière !

Donc, ceci étant, la bonne compréhension de ce passage est :
Au commencement était la Parole, la Parole était à Dieu, et Dieu était la Parole. Elle était au commencement à Dieu.
Mis ainsi en lumière, ce passage reflère exactement Qui est Dieu et de quelle manière Il se présente auprès de Jean !

Ceci exposé, voyons un autre passage de l'Écriture qui a été déformé entre l'Ancien Testament et le Nouveau Testament. Il s'agit de Malachie 3,1 :
«Voici, je vais envoyer mon messager, et il préparera la voie devant moi…»

Lisant le passage de Matthieu 11, 10 dans le Nouveau Testament dans la version d'Olivétan, je lis en marge : “Malachie.3.a”… Et là, j'ai failli tomber à la renverse de surprise ! Voici le passage de Matthieu 11, 10 :
«Car c’est celui de qui il est écrit: Voici, j’envoie mon messager devant ta face, qui préparera ton chemin devant toi
Ça pour une surprise, ce fut une surprise, surtout que je lis dans le même Malachie 3, le verset 6 :
«Car je suis l’Éternel, je ne change pas; et vous, enfants de Jacob, vous n’avez pas été consumés.»
, qui est repris dans le Nouveau Testament par Jacques 1, 17 :
«Toute grâce excellente et tout don parfait viennent d’en haut, et descendent du Père des lumières, en qui il n’y a ni variation, ni ombre de changement.»

Alors, comprenant vite que les passages du Nouveau Testament avaient été carrément falsifiés, je regardai les autres passages de cette citation, soit Marc 1, 2 et Luc 7, 27 et vis avec horreur qu'eux aussi avaient été falsifiés ! Ils ne reflétaient pas ce que Malachie avait dit dans l'Ancien Testament en prétendant le citer ! Je ne concevais pas en effet que Dieu puisse changer d'avis entre l'Ancien Testament et le Nouveau !

Alors, regardant ma version Ostervald papier, je corrigeai immédiatement ces versets en y mettant la citation originale de Malachie 3, 1 dans les trois passages concernés :
«Car c’est celui de qui il est écrit: Voici, je vais envoyer mon messager, et il préparera la voie devant moi…»

Traduit ainsi, ce passage renforce ma Foi en Jésus-Christ, Fils de Dieu en Qui était le Père, en esprit :
Jean 10, 38 : «Mais si je les fais, et quand même vous ne me croiriez point, croyez à mes œuvres, afin que vous connaissiez, et que vous croyiez que le Père est en moi, et que je suis en lui.»
(Devant les Pharisiens)
Jean 14, 10-11 : «Ne crois-tu pas que je suis dans le Père, et que le Père est en moi? Les paroles que je vous dis, je ne les dis pas de moi-même, mais le Père qui demeure en moi, fait lui-même les œuvres que je fais. Croyez-moi quand je dis que je suis dans le Père, et que mon Père est en moi; sinon, croyez-moi à cause de ces œuvres mêmes.»
(Devant Philippe qui lui demandait de leur montrer le Père)
QUATRE fois, dans ce passage, Jésus-Christ déclare que le Père est EN Lui, à l'intérieur de Lui ! De plus, en regardant le strong du mot “en” (1722), son sens premier est “dans, à l'intérieur de” !

Donc, Jean-Baptiste a bien été envoyé devant le Père qui était alors EN Jésus-Christ, à l'intérieur de Lui, en Esprit !

Du coup, Actes 10, 38 a été aussi falsifié car il dit : «Comment Dieu a oint du Saint-Esprit et de puissance Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient opprimés par le diable; parce que Dieu était avec lui.»

En réalité, comme Jésus-Christ a déclaré par 4 fois que le Père est EN Lui, il aurait fallu traduire : «Comment Dieu a oint du Saint-Esprit et de puissance Jésus de Nazareth, qui allait de lieu en lieu faisant du bien et guérissant tous ceux qui étaient opprimés par le diable; parce que Dieu était en lui.»
Si ça vient du texte grec original, du Texte Reçu, c'est que même ce texte grec a été falsifié afin de soutenir la doctrine de la Trinité, chère aux religions du monde ! D'ailleurs, ne trouvez-vous pas une ressemblance étonnante entre le Texte Reçu et la Vulgate ?

Comparez avec cet autre passage :
Car Dieu était en Christ réconciliant le monde avec soi, en ne leur imputant point leurs péchés, et il a mis en nous la parole de la réconciliation. (2 Corinthiens 5:19)

Ça devient tellement clair quand c'est traduit correctement ! Et l'harmonie de l'Écriture est restaurée !

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